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Mais d’abord, qu’est-ce qu’un déchet ?
Pour comprendre et accepter le secret que je vais vous partager, vous devez commencer par oublier tout ce que vous avez appris et en particulier la définition du déchet et de la matière première.
Schématisons une ligne de production : nous insérons des matières premières, nous utilisons des machines, de l’énergie et éventuellement des catalyseurs pour transformer ces matières afin d’obtenir un produit fini. L’ensemble de la procédure nécessite de la main-d’œuvre. Malheureusement, dans la grande majorité des cas, à la sortie de la chaîne de production, outre le produit fini que l’on désire, on se retrouve avec une quantité de produits qui ne nous servent pas. Nous pensons ici à des produits divers et variés allant des chutes de tissus, aux drêches de bière, en passant par des solvants, des huiles, des acides ou des bases…
Ces produits sont appelés différemment selon les entreprises. On parle de déchets, de sous-produits ou de coproduits, mais le résultat est souvent le même : ils sont jetés pour être brûlés ou détruits.
Selon cette approche, hormis le produit fini désiré, l’ensemble des résidus arrive dans la colonne des charges de votre bilan comptable. Selon une autre approche toutefois, les « déchets » peuvent apparaître dans la colonne des « revenus ».
Comment ? Pour le comprendre, attardons-nous un instant sur le concept de « matière première ».
Et qu’est qu’une matière première ?
Durant nos études ou lors de nos débuts dans le monde professionnel, on nous apprend comment choisir un fournisseur ainsi que l’importance d’avoir plusieurs fournisseurs et comment tester un produit et sa pureté.
Un fournisseur proposera normalement toujours une matière première la plus pure possible, c’est-à-dire, de « première main ».
Or, selon l’utilité que l’on porte au produit, pourquoi s’approvisionner avec de la matière première « pure », ou respectivement avec du « neuf » ? Pourquoi acheter, par exemple, du solvant pur pour nettoyer une pièce ou de l’acide pur pour neutraliser une base ?
Dans notre vie privée, nous sommes de plus en plus à acheter des biens dans des friperies, des plateformes de « seconde main », telles qu’Anibis, Ricardo, e-Bay ou encore le Bon coin. Pourquoi ne pas suivre cette tendance au sein de son entreprise ?
Maintenant que ces deux termes somme tout usuels sont bien définis, je vous livre le secret.
Alors, comment gagner de l’argent grâce à ces deux définitions ?
Réfléchissons :
Vous payez pour des matières premières ayant certaines spécifications. Si ces dernières sont trop poussées pour l’usage que vous en ferez, le marché actuel ne vous laisse toutefois que peu d’alternatives : vous ne trouvez pas de produit moins pur. Au fond, ce n’est pas problématique, car si le produit est trop pur, il ne va pas altérer le résultat. Donc vous l’achetez, même si cette matière première dépasse vos attentes et que, en conséquence, elle vous fait débourser davantage que le nécessaire. Vous pourriez donc acheter un produit moins pur et moins cher à une entreprise porche de chez vous ce qui vous ferait, en plus, diversifier vos fournisseurs.
De plus, après une production, vous vendez votre produit fini, mais vous devez payer pour vous débarrasser de vos déchets, sans voir en eux un potentiel : et si vos déchets étaient des matières premières ?
Pourquoi ne pas considérer vos sous-produits de fabrication comme un produit fini que vous pouvez vendre ? Si ce produit est la matière première de quelqu’un, il est normal qu’il l’achète. Tout sous-produit que vous aurez vendu est un sous-produit qui ne vous coûtera rien à brûler.
Si vous souhaitez profiter de notre secret, n’hésitez pas à contacter WaVa LA plateforme vous permettant de mettre sur le marché vos « déchets » et de trouver une matière première moins onéreuse. En résumé, un moyen simple et efficace de rentrer dans l’économie circulaire.
P.S. : Proposer un produit est gratuit, seule une commission sera prise sur la transaction et, si vous le désirez, notre partenaire Alcane Conseils s’occupera des documents de transport et/ou d’organiser le transport en lui-même pour vous.
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